1952

MARTINIE, Henri, « Pétérelle, l’ami des pauvres hommes », Le Parisien libéré, 20 novembre.

Extrait :
Il eut tous les traits et crève-coeur du peintre maudit, talent compris, mais il ne s’enivrait pas, ni ne faisait scandale, et cela supprime beaucoup de pittoresque. […] Ne voyons pas en Pétérelle un résigné, mais un optimiste déconcertant ; ses paysages, natures mortes, nus, danseuses procèdent des sensations d’un homme organisé pour aimer la vie : il l’aimait pour lui et pour les autres.

Privacy Preference Center